MEXICO, début du voyage de 2 mois au MEXIQUE
Octobre 2024 à MEXICO (Mexique)
Partie la veille de Paris, me voici au Mexique, seule, mais cette fois-ci pas pour très longtemps car ma coéquipière, Myriam, rencontrée il y a 2 ans au Laos, me rejoint à Mexico.
ITINÉRAIRE du 11 octobre au 16 décembre : Au départ, notre but premier était de fêter le JOUR DES MORTS/ El Dia de Muertos, la Toussaint des Mexicains, une grande fête carnavalesque dans le style d’Halloween.
Donc déjà MEXICO et OAXACA (Fête des Morts). Nous avons réservé - et ceci depuis au moins six mois - pour ces deux villes, 10 jours à Mexico et 2 semaines à Oaxaca.
Ensuite, on décidera au fur et à mesure, sachant que mon vol de retour se fera à CANCUN. Donc forcément, j’irai au Yucatan. J’aime bien ne pas tout programmer, ça me laisse toute latitude. L’objectif n’est pas de tout voir mais, si possible, de bien voir. Malgré mes 70 ans (j’en fais 69), je me dis toujours que je pourrai toujours y retourner.
M E X I C O.
HÉBERGEMENT à MEXICO :
Du 11 au 20 octobre, nous logeons à Mexico au :
- MEXICO CITY HOSTEL
La chambre est à environ 510 pesos/23 euros. Nous logeons dans la même chambre, donc ça nous fera chacune env. 12 euros. Nous avions choisi cette guesthouse pour son caractère central, proche du Zocalo, la grande place de la capitale. En effet, elle est à 20 mètres du Zocalo ! Pour nous, une localisation idéale.
C’est une chambre basique mais elle nous convient. Le plus est la possibilité de se servir de la cuisine. Eau et café à volonté. L’inconvénient est les portes qui claquent violemment mais on aura ça en pire à Oaxaca !
Premières impressions sur MEXICO: une ville vivante qui bouge, beaucoup de monde dans les rues, des vendeurs qui vantent haut et fort leur marchandise, de jolis parcs, un mélange architectural - ça, j’aime moins - entre l’ancien, voire du très vieux et une forêt de tours (proche du Zocalo), des musées passionnants et un riche passé culturel. Bref, j’ai bien aimé Mexico City.
Le ZOCALO
C'est la place principale, immense, en plein centre-ville avec sa cathédrale et ses monuments administratifs. Le centre est envahi de grandes tentes, une foire internationale du livre va s’y tenir certainement ce week-end.
Des policiers partout. Impressionnant!
Le Zocalo qui était si calme ce matin est maintenant très animé. Un petit marché de souvenirs en tous genres s’est installé aux abords de la Cathédrale. Les vendeurs jouent les camelots, interpellent la foule. Les étals sont colorés. C’est la vie, quoi !
Des chamans - ou pas - officient. C’est amusant de les voir opérer. Voir la VIDÉO.
⁷Il se passe toujours quelque chose au Zocalo !
𝗠𝗘𝗫𝗜𝗖𝗢 (Mexique), la 𝗙𝗘𝗧𝗘 𝗗𝗘𝗦 𝗔𝗟𝗘𝗕𝗥𝗜𝗝𝗘𝗦
C’était hier sur la place du Zocalo, un monde fou pour admirer ces "gentils monstres" très colorés en papier mâché.
DEFINITION trouvée sur Internet : Les ALEBRIJES sont des statues en papier maché représentant des animaux sauvages et domestiques, et des créatures fantastiques, généralement constitués d'éléments hybrides et imaginaires...La définition ne dit pas que c’est TRÈS COLORÉ.
Quel plaisir de vivre cela, quelle folie ! On oublie en un rien de temps ses soucis.
Beaucoup de monde bien sûr et des Mexicains costumés.
Je suis partie trop tôt du Zocalo et n’ai pas vu le défilé, ni su le nom du gagnant car c'était un concours mais j’aurais bien été en peine de les départager.
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VIDÉO 1
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VIDEO 2
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VIDEO 3 : C’est la Fête des monstres...gentils !
Et les photos pour illustrer cette fête ...
Les gens ... sur la dernière photo, les dernières retouches. Parfois mais rarement, la peinture est encore fraîche !
Notre troisième jour à MEXICO CITY
Prendre la rue Tacuba à droite en quittant notre logement, c’est tout droit. Nous prenons notre petit déjeuner à la MAISON KAYSER 👍🏻 puis toujours tout droit, à 50 mètres la Poste puis à gauche le musée.
Belle journée avec le magnifique MUSÉE DES BEAUX ARTS où j’ai pu découvrir deux fresques monumentales de Diego RIVERA (le mari de la non-moins connue Frida KALHO).
MUSÉE DES BEAUX ARTS
C'est le musée appelé PALACIO DE BELLAS ARTES. Édifice magnifique tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Visite gratuite le dimanche comme dans tous les musées de Mexico.
Ce qui m’intéresse ici, ce sont les fresques murales, surtout celles de DIEGO RIVERA.
En 1934 le musée demanda pour son inauguration à Diego Rivera de réaliser cette oeuvre. On y voit figurer Trotzki avec les lunettes et les cheveux ondulés et blancs, l’ami du couple Rivera-Kalho et aussi Lénine. L’engagement politique de Rivera est très clair.
L’œuvre s’appelle l’homme, contrôleur de l’univers.
Une autre œuvre datant de 1936 intitulée Carnaval de la Vie Mexicaine.
Rivera exprime une critique sur la vie politique sociale de cette époque caractérisée par l'ambition du pouvoir et la corruption des élites.
Toute l’œuvre de Rivera est politisée. Ses fresques murales sont riches en détails. Il y a bien une guide mais tout est en espagnol, je retiens quelques bribes mais hélas, pas tout!
Le premier tableau se nomme LA DICTATURE et le second MEXICO FOLKLORIQUE ET TOURISTIQUE.
Après la visite du musée des Beaux-Arts quel plaisir de se promener dans ce grand parc, c'est l’ALMANEDA. Vivant, ombragé, bien entretenu, un vrai plaisir et en plus la possibilité de rejoindre facilement le MUSÉE DIEGO RIVERA.
Un petit tour pour admirer la POSTE, une poste à l’ancienne, de toute beauté. Elle se trouve près du musée des Beaux Arts, pas loin de la MAISON KAYSER où nous avons pris notre petit déjeuner.
LE TEMPLO MAJOR
Puis c’est parti pour découvrir le TEMPLO MAYOR ou TENOCHTITLAN. Contrairement au plan du Lonely Planet, il est sur le Zocalo mais derrière la Cathédrale.
Un peu déçue, voire très déçue car que des ruines à voir. Par contre, le musée est de toute beauté, un incontournable !
Le MUSÉE du TEMPLO MAYOR
Absolument à voir. Voici quelques œuvres...
Ci-dessus, Mictlantecuhti, le dieu de la mort. Sculpture en céramique découverte lors de fouilles entre 1994 et 1997 au nord du Temple Mayor. On voit devant les entrailles du dieu. Explicite !
Pour finir, nous quittons ce beau musée pour aller au restaurant et remarquons que les ruines sont plus intéressantes, plus "parlantes" en prenant cette direction.
Myriam a, en effet, eu la fine idée de vouloir aller manger de l’autre côté des ruines. On voyait en effet en haut d’un bâtiment un RESTAURANT en terrasse. Il s’appelle EL MAYOR et se trouve au troisième étage avec ascenseur d’un bâtiment nommé PORRUA (c’est une librairie). On s’est régalées d’un ceviche au poulpe.
De plus, on a une vue directe sur le Templo Mayor. Après tant de marche, nous dégustant notre repas. Il fait un peu chaud sur la terrasse.
Revenues sur le ZOCALO tout proche, l’animation bat son plein, plusieurs musiques en même temps, des vendeurs qui haranguent le chaland et nos faux chamans qui dansent maintenant !
VIDÉO DES CHAMANS DANSEURS ...
MEXICO, des "chamans" dansent sur le zocalo
Uploaded by Odile D on 2024-10-14.
200 FRESQUES MURALES de DIEGO RIVERA.
Elles se trouvent au Secrétariat de l’Éducation Publique, rue Republica de Brasil 31. Les visiteurs entrent rue Argentina.
Le SECRÉTARIAT DE L’ÉDUCATION PUBLIQUE ou MUSÉE DU MURALISME mexicaine fut créé en 1920 (nouvelle classe moyenne au pouvoir) dans l’esprit d’une reconstruction nationale et d’une valorisation de l’art mexicain, également en vue de renforcer l’éducation primaire et lutter contre l’alphabétisation. 𝘼𝙞𝙣𝙨𝙞 𝘿𝙞𝙚𝙜𝙤 𝙍𝙄𝙑𝙀𝙍𝘼 𝙛𝙪𝙩 𝙞𝙣𝙫𝙞𝙩é 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙙’𝙖𝙪𝙩𝙧𝙚𝙨 𝙖𝙧𝙩𝙞𝙨𝙩𝙚𝙨 à 𝙥𝙚𝙞𝙣𝙙𝙧𝙚 𝙡𝙚𝙨 𝙢𝙪𝙧𝙨 de cet immense bâtiment qui était à l’origine (en partie) un couvent où vivaient des nonnes.
Diego RIVERA, peintre politiquement très engagé, fervent communiste et ami intime de Trotzki a peint plus de 200 fresques sur les thèmes comme la distribution des terres, la fonderie, les potiers, la mine, la sortie de la mine, la récolte supervisée par le contremaître, la récolte du maïs et de la cane à sucre, le marché, la danse (la zandunga), les tisserands, les teinturiers, la fête des Morts, les femmes du peuple de Tehuantepec, les paysans, ...aussi sur la lutte, le combat, la difficulté de vivre pour le peuple mexicain...
UNE VIDÉO À VOIR CI-DESSOUS ....
LA VIE DE DIEGO RIVERA
Sur mon article, je parle plusieurs fois de Diego RIVERA. Je poursuis donc mes explications ...
RIVERA vécut la révolution mexicaine en 1910 mais, faisant partie d’une famille bourgeoise, il n’en comprit pas tout de suite l’importance.
Il partit en France et rencontra l’élite artistique de l’époque, Pablo Picasso, Modigliani, Soutine,...
Il vécut des années chaotiques et sombres, des années de faim et de misère à Paris pendant la première guerre mondiale. Sombre? Il dit lui-même avoir dévoré des femmes, la cervelle d’une jeune fille. Rivera fait courir ce bruit pour le moins effrayant. On l'appelle ́l’Ogre ou le Géant.
Il quitte Paris en 1921, donc après la guerre pour rentrer définitivement dans son pays, habité d’une fureur de peindre.
" Il a compris que là était sa peinture, sur les murs des maisons de la nouvelle révolution, pour les yeux du peuple qui s’est battu dans les rues et sur la terre, et non dans les salons des ateliers enfumés de Montparnasse."
"Et c’est autour de lui que se fera le mouvement muraliste, comme la révolution cubiste s’était faite autour de Picasso." écrit par LE CLÉZIO.
À nouveau au Mexique en 1921, à l’époque où Frida Kalho a tout juste 14 ans mais ceci est une autre histoire !
Ce que je raconte est dans le livre du CLÉZIO, "Diego et Frida". Livre passionnant , en tout cas je le dévore !
Une série de fresques pour illustrer mon propos. Oui, je sais, j’ai adoré ce musée.
Sur ces tableaux du musée du muralisme apparaît encore davantage l’engagement politique de Rivera :
J'ai oublié de signaler l’adresse d’un restaurant où prendre son petit déjeuner à proximité, pour 115 pesos/env. 6 euros . Il s’appelle LOS PORTALES.
Le truc marron pas appétissant, c’est des haricots. Dorénavant je vais demander "SIN FRIJOLES" 😉
𝗠𝗮𝗶𝘀𝗼𝗻 𝗕𝗹𝗲𝘂𝗲 𝗱𝗲 𝗙𝗥𝗜𝗗𝗔 𝗞𝗔𝗟𝗛𝗢
Située à 10 kilomètres de Mexico, Coyoacan est une jolie bourgade dont le centre est de type colonial. Dans cette localité ont vécu Frida KALHO et son mari, le muraliste Diego RIVERA mais on parle surtout ici de LA peintre dans ce musée riche en informations sur elle.
J’ai réservé de France trois semaines à l’avance SUR LE SITE OFFICIEL (surtout pas Getyourguide et compagnie !) et c’était une excellente idée! En tarif senior, le prix est vraiment bas!En même temps, ça évite un trop plein de visiteurs, la visite est ainsi fluide.
Pour y aller, nous avons pris un Uber, environ 180 pesos, ça ne vaut pas le coup de s’en priver!
LIRE LA VIDÉO CI-DESSOUS...
La maison est assez grande et colorée à souhait. Beaucoup d’explications sont données sur la vie de Frida. Sont exposés ses peintures, des objets, meubles, robes,....tout à l’identique.
On voit aussi l’un des corsets, instrument de torture de Frida.
Le jardin est vraiment magnifique. Une chance, on peut y rester le temps qu’on veut. Si je peux me permettre un parallèle, il rappelle un peu le Jardin Majorelle à Marrakech mais en encore plus coloré.
Je suis en train de lire DIEGO ET FRIDA de Le Clézio. Voilà une lecture passionnante qui explique par le contexte de l’époque l’engagement politique de ces artistes. Lecture facile et instructive.
Diego Rivera et Frida Kalho, un couple qui adhère aux mêmes idées (entre autres, revalorisation de l’art indien) . Un couple qui s’aime, qui se déchire, une femme follement amoureuse d’un homme nocif quand même et emporté, un personnage hors du commun, tant physiquement qu’humainement, fantasque, menteur, très volubile, aimant raconter des histoires effrayantes et incroyables, homme à femmes au pouvoir de séduction certain malgré un physique particulier.
Leur histoire d’amour est indissociable de leur même foi en la révolution, et pour la glorification du passé amérindien du Mexique.
Les canaux de XOCHIMILCHO
Situés à 20 km de la capitale du Mexique. Nous avons pris un Uber et sommes arrivées à l’embarcadère NATIVIDAS.
Les canaux de XOCHIMILCHO près de Mexico
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Je savais que c'était un endroit très touristique et donc je pensais qu’en y allant un lundi, on éviterait la foule. En fait, je n’ose même pas imaginer ce que ça doit être le week-end.
Nous avons négocié une barque pour nous toutes seules pour 1000 pesos/50 euros et 2 heures de balade. C’est déjà trop cher.
LIRE LA VIDÉO CI-DESSOUS...
Les canaux de XOCHIMILCHO près de Mexico, les marachis
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Comme Xochimilcho présente des kilomètres et des kilomètres de canaux (180 km navigables) et que les guides parlent de jardins, je pensais que ...
LIRE LA VIDÉO...
Les canaux de XOCHIMILCHO près de Mexico, les marachis
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...la balade serait bucolique et que nous serions en pleine nature, dans le style des hortillonnages d’Amiens ou du marais de St Omer mais ...ce ne sera jamais le cas !
LIRE LA VIDÉO ci-dessous ...
Les canaux de XOCHIMILCHO près de Mexico
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Bien sûr, sur les parties latérales, on voit quelques échappées vers la belle nnature que voici ....
...mais les bateaux colorés ou trajineras empruntent le Grand Canal, bifurquent ensuite sur une autre voie également large où beaucoup de barques font le même parcours. Les barques se touchent parfois. Des groupes de marachis chantent sur les barques et nous demandent à plusieurs reprises s’ils peuvent chanter pour nous. Toutes sortes de petites barques nous accostent pour nous vendre du maïs grillé, du pulque (alcool fort), des couronnes de fleurs,... très désagréable, c'est du harcèlement.
L'apothéose arrive quand la balade se termine et qu’il faut trouver une place, en même temps que plein d’autres barques.
Voir la vidéo ci-dessous...
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https://www.youtube.com/shorts/HaG7LUxuxOE?si=iz81CaAFXE1-aADO
Bilan de la sortie : Bof, bof ....Brigitte S. avait bien raison, Xochimilcho est à fuir. Néanmoins, ça peut plaire aux enfants.
Et patatras, Myriam se fracture l’humérus !
Une très mauvaise chute au musée de l’Anthropologie, juste à l’entrée, et c’est l’arrivée aux urgences, radio, examens sanguins qui nous prennent toute la journée.
Le verdict tombe : Fracture de l’humérus et fluxation, pose d’une plaque métallique. L’opération s’impose. Coût de l’hospitalisation : 10 000 euros. L’assurance Chapka refuse dans un premier temps de rembourser Myriam sous prétexte qu’il y a 11 jours de carence (???).
Après de nombreuses péripéties, enfin des échanges interminables de mails, Myriam sera rapatriée en France.
Conclusion 1 : Un accident est souvent imprévisible. Pensez à être bien assuré !
Conclusion 2 : Ne lisez jamais votre portable en marchant.
Conclusion 3 : Il va falloir reconsidérer la suite de notre voyage, éviter de prendre le bus à cause des secousses, bref repenser complètement notre itinéraire et surtout pour Myriam voir si la poursuite du voyage est envisageable.
MUSÉE DE L’ANTHROPOLOGIE
C'est justement au Musée de l’Anthropologie que Myriam est tombée, juste à l’entrée. Compte-tenu des circonstances, j’y retourne seule le lendemain.
C’est un immense musée, le plus connu de Mexico.
Sa présentation soignée me rappelle celle de notre Musée du Quai Branly à Paris.
MUSÉE DES ARTS POPULAIRES
Et je termine par ce joli musée. Du Zocalo à pied, ce n’est pas très loin et ça permet de voir d’autres quartiers comme le quartier chinois. Mais on peut s’y rendre en métro.
Beaucoup d’objets très décoratifs comme les arbres de vie et bien sûr tout ce qui touche à la Fête des Morts, comme si les Mexicains voulaient provoquer la mort.
BILAN : Dix jours passés agréablement si ce n’est l’accident de Myriam mais Myriam la courageuse est toujours avec moi à Oaxaca.
Très contente de mon séjour à MEXICO. J’ai beaucoup aimé l’ambiance, toujours beaucoup à voir au Zocalo. À mon sens, loger près du Zocalo est une bonne idée.
Par contre, ne pas s’attendre à un centre ville de type colonial. Les maisons n’ont pas de charme, par contre beaucoup de musées et de jolis parcs. Les contacts avec les Mexicains sont agréables, beaucoup sont prêts à nous aider.
Que viva Mexico !
La suite? C’est donc ici, à....OAXACA !
MEXIQUE : La jolie ville d'OAXACA et sa Fête des Morts 👻 🎃 Partie 1 - En chemin avec Odile
OAXACA (Mexique) du 20 octobre au 5 nov. Après nos 9 jours passés à Mexico, nous prenons l'avion pour OAXACA. On nous a dit que cette ville était très jolie. Une rue d'Oaxaca Mon but est de vi...
http://odile-en-chemin.over-blog.com/2024/10/oaxaca-partie-1/2.html
15 jours pour vivre EL DIA DE MUERTOS