Borobudur, campagne et rizières

Publié le par Odile

La campagne à Borobudur

Henry me récupère au temple de Borobudur. Nous partons dans la campagne javanaise : Rizières, bananiers, et cocotiers, rien d'extraordinaire en Asie mais c'est un paysage dont je ne me lasse  pas.

Aussi des champs de tabac et récolte d'ignames il me semble et à certains endroits du maïs.

Par ce temps déjà pour moi bien chaud, mon plaisir est accru de rouler en moto,  le vent me rafraîchit agréablement et la campagne verdoyante repose du tumulte de la ville.

Mais quelle surprise de voir au dernier moment que nous arrivons chez Henry ! Sa femme Yummie m'offre à manger, sort les albums de photos et je leur montre quelques photos de ma famille. A ce propos, le fait de parler un peu indonésien m'aide bien à tenir un semblant de conversation.

 

Eh oui mais à chaque fois que je pars en Indonésie, je revois les leçons de mon petit livre de poche GUIDE DE CONVERSATION INDONÉSIEN de chez Assimil.

L'indonésien est simple à apprendre, pas de conjugaison, pas d'article,... et sans mes 'tites connaissances dans cette langue, la communication aurait été quasi impossible avec Henry. Bien sûr, mon petit livre ne quitte jamais mon sac à dos, mon vocabulaire est infime. Alors je discute avec mes hôtes en cherchant les mots dans le petit dictionnaire.

La chaleur extérieure ne nous donnait pas envie de ressortir mais Henry m'a proposé d'aller voir le travail des potiers.  L' argile utilisé est celui des rizières.

 

Borobudur, campagne et rizières
Borobudur, campagne et rizières
Borobudur, campagne et rizières
Borobudur, campagne et rizières
Borobudur, campagne et rizières
Borobudur, campagne et rizières
Borobudur, campagne et rizières

MON HÉBERGEMENT :

​​​​​Je suis donc au BOROBUDUR VILLAGE INN, 18€ la chambre. Tout me plaît même si la chambre est sombre et qu'on entend le bruit de la rue  mais il y a une terrasse juste devant et à côté de la tonnelle qui fait restaurant.

Le + pour moi incontestablement, c'est le service, la possibilité d'avoir eu un chauffeur, donc Henry (prononcer à l'anglaise) qui me conduise avec sa moto partout pendant deux jours. Il m'a demandé 150 000 roupies par jour, soit environ 9 euros. Rini, la patronne m'a emmenée au temple.

On peut manger correctement avec 50 000 roupies. Au total, pour 3 jours en demi-pension, j'ai payé 1 032 000 roupies soit 61 €.

Donc une adresse intéressante et des gens très sympathiques.

 

​​​​​DEPART DE BOROBUDUR : Je vais maintenant me rendre à Dieng, sur le plateau de Dieng, à 2000 mètres d'altitude. J'espère avoir la wifi pour continuer à écrire. La patronne de ma guesthouse me propose un taxi Borobudur-Dieng à 450 000 roupies/27 euros. C'est une bonne solution pour un transport plus agréable et la possibilité de s'arrêter de temps en temps sur la route pour un beau point de vue car le paysage entre Wonosobo et Dieng ne manque pas d'intérêt.

 

Borobudur, campagne et rizières
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Publié dans Java

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